donderdag 17 juli 2008

crossen door de brousse


Met zijn twee met de brommer 30 km ver naar Ouahigouya... tot we op 5 km van de eindstreep rare geluiden hoorden. Meerdere spaken van het achterwiel waren gebroken. Afgesproken: ik doe de 5 km te voet en mijn gids zoekt een hersteller.

Nog geen honderd meter verder wordt me een lift aangeboden door een vrouw. Ze stelde me spontaan voor me naar OUahigouya tot aan het hotel l'amitié te brengen (een detail voor de kenners). Als tegenprestatie kreeg ze 300 fr of 0,50 eurocent. wat goed betaald is.

Ik had nooit gedacht achteraan op een mobylette van een "wild-vreemde" afrikaanse vrouw door de rood bestofte kiezelwegen van de brousse te voyageren.

Ik ben haar dankbaar geen 5 km te voet door de middagzon te hebben moeten stappen.

(Spijtig dat dit unicum niet vast kon gelegd worden in een 'kiekje'.)


Jeudi 17 juillet: En mobylette, direction Ouahigouya. Une route de 30 km qui termine pour moi à 5 km de l'arrivé. La motto démonstrait un rythme anormal.... plusieurs rayons de la roue en arrière avaient sauté.

Avec El Tafa, mon guide, on se met d'accord que pendant qu'il cherche un lieu de réparation, je continue ces 5 km à pied.

A peine quelques centaines de mètres sous un ciel éblouissant, une femme en mobylette s'arrête. Tu supposes bien que c'est une Africaine. Elle me présente spontanément de m'amener à Ouahigouya à l'entrée de l'hôtel de l'amitié (un détail pour ceux qui connaissent la ville). Spontanément je lui ai donné 300 fr ou 0,50 eurocent. C'est un bon pourboire.

Qui aurait pu s'imaginer me voir assis en arrière sur la mobylette d'une femme que je ne connais de loin ou de près. J'en étais fier et si j'avais le don de savoir lire la pensée... elle était autant.

Cela me donne une idée suivante: c'est un appel.... il y a des jeunes et aussi quelques adultes qui cherchent des correspondant en Europe, pour mieux apprendre le français. S'il y en a parmi vous qui se sentent appelé, qu'ils se lèvent et me font savoir leur décision.

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